Elaria Maryam ■Élève■

Dernière fille d'une famille aisée, Elaria a toujours vécue sans soucis financier aucun. Sa mère, Rosa, travaillait comme pédiatre depuis toujours, un amour inconditionnel pour les enfants l'animant. L'aînée des filles, Porrim, ayant tout juste terminé ses études, venait d'ouvrir une boutique de tatouage où elle y exerçait le métier de tatoueuse et de perceuse. La cadette, Kanaya, poursuivait ses études dans le milieu de la mode. Il ne restait qu'Elaria, en seconde, voulant faire sa vie dans la danse. La famille Maryam vivait à Aurora depuis bon nombres d'années maintenant et aussi loin qu'elle s'en souvienne, Elaria n'avait jamais connue d'autre ville, y passant toute son enfance entre sa mère et ses deux soeurs. Les trois petites filles avaient passé leurs jeunes années à courir et à jouer dans les couloirs du grand manoir dans lequel elle vivaient et dans lequel elle vivent toujours. Seule Porrim avait pris un appartement au-dessus de sa boutique. Elaria était une enfant rêveuse et innocente, bercée par l'amour d'une mère et par la bonne entente entre ses soeurs. Elle adorait passer ses journées allongée dans l'herbe, à regarder les nuages le jour et à compter les étoiles la nuit. La chose qu'elle préférait était, vers le mois d'Aout, quand les étoiles filantes étaient importantes, voir ses souhaits se réaliser au fil des voeux formulés. Seul un secret veanit entâché son enfance : celui de son père. Sa mère n'en parlait jamais et ne voulait pas le faire, elle avait l'air en colère à chaque fois qu'elle abordait le sujet. Elle avait donc grandit ne sachant rien sur son géniteur. En grandissant, Elaria avait gardé son innocence et avait du mal à voir le mal en chaque personne. Pour elle, le monde est beau et rien ne peut la faire changer d'avis, même pas les nombreux délits commis dans l'établissement dans lequel elle étudie. Cela ne lui fait nullement peur, elle espère juste que cela s'arrêtera rapidement, mais elle croit en la justice et ne se fait aucun soucis sur le travail accomplit par la police, leur donnant une confiance aveugle.
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Un visage enfantin lui donnant un air plus jeune, une peau de lait parsemée de jolies et discètes tâches de rousseurs, un mignon petit nez retroussé.. Tout ces traits ne font qu'affirmer un peu plus l'innocence qu'Elaria avait gardée de son enfance. Néanmoins, une chose tranchait avec tout cela : son regard. Ses yeux gris tirant vers le bleu sont d'une pronfondeur incomparable. A tel point que l'on pouvait s'y noyer. Son iris reflète tout les secrets cachés en elle, toute sa part sombre réside en son regard. Seule une petite étincelle de malice brille au fin fond de ses yeux, telle la lune dans une nuit sans étoile. Ses lèvres, elles, sont charnues et rosés, tel un bonbon que l'on aurait envie de croquer. Encadrant ce joli visage, ses cheveux hésitant entre le chatain clair et le blond foncé s'arrêtent juste en dessous du menton, vers le milieu du cou. Elaria a une coupe au carré, les cheveux lisses et parfaitement disciplinés. Elle adore néanmoins se les ébouriffer. Une frange de mèches folles retombe sur son front mais elle n'est pas assez longue pour voiler son regard. Pour ce qui est du reste de son corps, la jeune fille est plutôt grande, toute en jambe. Il faut dire qu'elle mesure 1m71. Perchée sur des jambes fines et élancées, elle dépasse la plupart de ses camarades. Elle possède une taille fine, et une poitrine de taille moyenne, ni trop grande, ni trop petite. Elle met tout cela en valeur avec des chemisiers légers qu'elle rentre dans une jupe courte. S'il y a une chose que l'on peut remarquer chez elle, ce sont ses mains : des mains de pianiste. Avec de longs doigts fins. Elle ne fait pourtant d'aucun instrument. Si ce n'est que pour elle, son instrument est son corps : Elaria danse. La danse est pour elle un moyen de s'exprimer par son corps, faisant passer divers sentiment. Pour elle, une chorégraphie vaut tous les discours.
Pour aller avec tout cela, Elaria possède un caractère bien trempé. Têtue mais jamais à l'êxtreme. Elle déteste juste qu'on la contredise alors qu'elle sait pertinemment qu'elle a raison. En parallèle, elle est quelqu'un avec des convictions, quelqu'un qui croit, que la vie n'a pas brisé. Ce n'est pas pour autant qu'elle ne sait pas faire la part des choses, elle garde juste une certaine innocence qui lui fait voir le monde aux couleurs du bonheur. Elaria est sûrement ce qu'on pourrait appeler l'image de la douceur, étant tactile et tendre avec les personnes lui étant chères. Pour elle, chaque geste a une signification, elle ne fait jamais rien au hasard. C'est une jeune fille perdue dans son monde alors il lui arrive de ne pas écouter ce qu'on lui dit et de faire répéter dans la seconde qui suit. Il ne faut pas lui en vouloir, ses pensées étaient juste plus intéressantes que ce qu'on lui racontait. Elle s'émerveille de tout, ses grands yeux gris s'ouvrant à chaque fois, pétillant de malice. Elaria est du genre énergique, mais pas hyperactive ni surexcitée. Elle aime les livres et le thé. L'été est sa saison préférée mais elle  ne supporte pas les chaleurs trop forte. Après tout ses bons côtés, Elaria a comme tout le monde, des défauts : sarcastique, ironique, l'humour noir est son dada. Elle sait néanmoins l'utiliser à bon esciens. Juste, ne la vexait pas, car sa première arme sont les mots et elle touche habituellement là où ça fait le plus mal par des piques bien placées. Comme dit plus haut, sa passion est la danse. Chez elle, c'est un état d'esprit : elle mange danse, elle boit danse, elle dort danse, elle vit... Danse. Après la danse, il y a autre chose qui guide sa vie. La magie. Des contes de fées aux Bandes Dessinées, tout ce qui peut avoir un attrait avec ça lui plait.